Sandia Karima : une bonne action n’est jamais perdue


Sandia Karima au service des jeunes orphelins à Magenga (Madagascar)

Madame Sandia Karima B. M. est la fondatrice de l’organisation humanitaire OCD et point focal de Fédéralitude international à Genève. Nous reprenons ici les points conformes à ses valeurs et à son éthique et qui ont été validés par elle suite à l’article « Contribution : une bonne action n’est jamais perdue ». Ce dernier, qui porte sur son action a été publié le 28 août 2017 par le site info15.com et repris par un certain nombre de journaux (dont lesoleil.sn, sen360.fr, etc.)

Au moment où l’on parle de pertes de valeurs , de manque d’implication et d’empathie envers la population nécessiteuse en Afrique et dans le monde , les bonnes actions et pratiques au service du développement humain et de l’entraide menées par certaines personnes dans la plus grande discrétion méritent d’être mises en lumière pour servir d’exemples à la jeune génération .

De part l’investigation qui a été menée par l’auteur dudit article : « Sandia Karima est perçue par les bénéficiaires comme une femme d’une générosité et d’une modestie exemplaires. »

Humaniste originaire des iles Comores, elle est établie depuis 10 ans dans le pays helvétique (Genève) avec des points d’ancrages en France, Belgique, Norvège, les iles de l’océan indien et l’Afrique. Avec un financement personnel, ses engagements humanitaires remontent à 24 ans.

Par la suite [ndlr. Il y a une quinzaine d’années], elle a opté pour la mise en place d’une organisation apolitique à vocation universelle dénommée OCD (Organisation pour la Cohésion du Droit et du Développement) dans le but de poursuivre ses activités bénévoles auprès des personnes vulnérables ici et ailleurs dans l’insertion socioprofessionnelle, l’entraide et l’accompagnement socio éducatif des orphelins, veuves, seniors et des enfants de la rue (talibés) , de part ses moyens limités, elle leur proposent des aides ponctuelles. Elle met l’humain au centre de ses préoccupations, s’investit pleinement dans cette noble et exaltante mission.

Pour lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, une cause pour laquelle elle se bat depuis plusieurs années. Grâce à ses multiples missions de prospections elle a su acter de bonnes actions humanitaires avec objectivité. Inspirée par une enrichissante prise de contacts sur le terrain, elle a pu matérialiser son projet qui a rapidement obten ue l’adhésion officielle et la mise en place d’une structure depuis 2005 au Sénégal.

Par ailleurs, l’organisation est agréée dans la plupart des pays où elle intervienne notamment, le Burkina Faso, le Rwanda, Madagascar, la Suisse et dans d’autres lieux où beaucoup de nos compatriotes ont eu à bénéficier de ses appuis de façon anonyme.

En ma qualité de représentant de l’OCD au Sénégal, j’ai eu à échanger avec des personnes bénéficiaires des aides et de très bons échos ressortent de nos entretiens sur le respect et le bon traitement de Madame Sandia, ceci dans une discrétion totale et une grande considération des personnes.

Convaincue que c’est dans la solidarité et la synergie des actions qu’elle pourra atteindre ses objectifs ,elle mène ses activités avec des acteurs locaux potentiels de la société civile , des institutions gouvernementales et du secteur privé dans la valorisation des acquis, le renforcement de capacités, l’échange de compétences, l’appui des projets existants et de la méditation .

L’homme étant au centre de tout développement. L’organisation met en ouvre des actions tendant à lui donner sa place d’acteur incontournable dans le but d’affirmer ses valeurs, sa culture et sa tradition dans la diversité pour un monde plus humain et respectueux des droits.

Ceci, en tenant compte des coutumes et mœurs, du respect de la doctrine juridique inhérente à Chaque pays et la valorisation des droits et des devoirs de chacun en conformité avec les objectifs pour le développement durable.

L’organisation est profondément sensible aux nombreuses formes de discrimination et de violence qui s’exercent sur les femmes et les enfants notamment ceux souffrant de carences affectives ou éducatives.

L’avancée vertigineuse de la technologie notamment avec les réseaux sociaux contraste fâcheusement avec les dégradations de la nature et des conditions sociales de vie des populations dans de nombreux pays.

L’éthique de cette femme, la fondatrice de l’OCD Sandia Karima B. M c’est d’accentuer son approche par la mise en œuvre de ses actions humanitaires dans un esprit de partage, de solidarité et de l’entraide. En effet, Son concept est basé sur des règles qui tendent vers un monde meilleur et équitable.

Madame Sandia Karima attire l’attention sur le fait que certaines personnes pourraient se servir de son nom ou de celle de son organisation à d’autres fins. Elle rappelle que toutes les demandes n’émanant pas d’elle directement ou ne bénéficiant pas de son accord explicite doivent être considérées comme frauduleuses.

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